Avant pour être connu il fallait être acteur, chanteur ou footballeur et passer à la télé pour acquérir une certaine notoriété.
Aujourd’hui il suffit d’être Tiktokeur, Snapeur, YouTubeur ou influenceur, passer par les réseaux pour devenir pour la plupart, de véritables fléaux.
Car oui, certains utilisent ce moyen pour élever la communauté, mais la majorité utilise ce moyen pour la déshonorer.
Ah les réseaux, gourous des temps modernes qui dictent les moeurs et les codes, ogres broyeurs de valeurs et de pudeur qui se délectent des voyeurs, des pécheurs et des vendeurs de leurres.
Quel meilleur outil que celui-ci pour détourner, même les plus chevronnés, du chemin de la piété ?
Satan le lapidé n’a plus qu’a regarder.
«Ne suivez point les pas du diable car il est vraiment pour vous un ennemi déclaré.»
Le Coran met pourtant en garde les musulmans, les informant que Satan a tout son temps, pour les mener vers l’égarement.
Pour preuve, si vous demandez à une personne si elle est capable de commettre la fornication, elle serait scandalisée par cette question et répondrait formellement non !
Si vous demandez à une honorable soeur, si elle est capable de retirer son vêtement de pudeur et s’exposer devant le monde entier, elle serait tétanisée face à cette idée et répondrait sans hésiter que Dieu la préserve de cette éventualité !
Malheureusement, plus le temps passe et plus l’éthique trépasse.
Les réseaux ont rendu l’impensable : concevable.
Tels des Dajjal virtuels, les réseaux ont fait chuter des personnes au rang religieusement élevé, dans les plus bas et vils péchés.
Tels les pires pervers manipulateurs, les réseaux ont fait chuter nos soeurs, leur faisant ôter, jilbab, hijab et vêtements de pudeur.
Tels des bonimenteurs malveillants, les réseaux ont fait chuter nombreux musulmans, dans des comportements déshonorants et avilissants pour des likes, des vus, des followers et de l’argent.
« Ô Allah, je Te demande la guidance, la piété, la chasteté et la suffisance » disait notre Messager.
Ô communauté de Mohamed, réveillons nous. Réveillons nous et revenons à notre Seigneur repentants, tant qu’il est encore temps.