Le monde voit les massacres, le génocide, les crimes de guerre, l’épuration ethnique et les crimes contre l’humanité sur le peuple Palestinien que nombreux médias et politiques ne cessent de déshumaniser.
Des mois d’intenses de bombardements sur Gaza, prison à ciel ouvert sous humiliation et sous blocus depuis de trop nombreuses années et vient s’y ajouter un siège total signifiant coupure d’eau, de gaz, de soins, de nourriture et d’électricité.
Le ministre de la défense israélienne qualifiant les palestiniens d’animaux : les milliers de morts dont nombreux enfants, les blessés, les démembrés, les endeuillés, les disparus et les déportés sont pour la majorité des médias occidentaux de simples dommages collatéraux.
En France le fait, publiquement ou non, d’exercer des sévices ou commettre un acte de cruauté envers un animal est puni de 3 ans d’emprisonnement et de 45.000 € d’amende.
S’il fallait encore le prouver, la vie d’un palestinien ne vaut pas celle d’un animal et définitivement pas celle d’un israélien qui est pourtant dans cette terrible affaire l’oppresseur colonisateur.
S’ajoute donc à l’oppression et la colonisation physique, l’injustice, l’inconsidération et l’oppression médiatique, capable de dépenser des millions d’€ pour diffuser à l’opinion publique les mensonges les plus immoraux et impudiques.
Comme le disait déjà en son temps Malcolm X : Les médias sont les entités les plus puissantes sur terre. Ils ont le pouvoir de rendre les innocents coupables et de faire des coupables des innocents.
Notre bien-aimé Messager quant à lui a dit : « Quiconque d’entre vous voit un mal, qu’il le corrige avec sa main. S’il ne peut pas, avec sa langue. Et s’il ne peut pas, alors avec son cœur et ceci constitue le plus bas degré de la foi ».
Ne restons pas silencieux et insensibles nous rendant complices des injustices.
Que chacun agisse à son niveau via les invocations, les dons, les publications et le boycott des institutions soutiens de l’oppression.
Même si ça paraît dérisoire, peut-être que les choses changeront si chacun fait sa part.
Enfin, que le monde garde à l’esprit que :
Nul ne peut cueillir le fruit du bonheur sur l’arbre de l’injustice.